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Résumé de l’acte 1 à 11
Sylvie et Gérard sont mariés depuis de nombreuses années. Leur vie est paisible mais leurs relations sexuelles sont presque au point mort.
Elle est chaude comme une allumette, lui est passif et peu enclin à la gaudriole avec son épouse.
Madame peut choisir son cadeau d’anniversaire, Monsieur paie.
Elle réserve donc, à l’insu de Gérard, deux semaines dans un gîte rural coquin dans la Drôme.
Cette initiative réchauffe le couple, et les voilà partis pour le gîte rural, la fleur au fusil, pour remettre un peu de piment à leur existence, tenter de s’encanailler et s’en mettre plein la « lampe ».
Sylvie a réussi son coup en se faisant baiser par le numéro 2 de l’administration du gîte.
Le couple, plus uni que jamais, papillonne de gauche et de droite et brûle la chandelle par les 2 bouts. Les relations tant amicales que sexuelles avec la communauté du gîte s’intensifient.
Bien que le couple papillonne de gauche à droite et se fait des overdoses de sexe, il reste uni et trouve le temps de se retrouver pour se faire du bien, du très bien même.
Sylvie et Gérard on la soirée avec un couple d’Australiens et c’est la première fois que notre héroïne a des relations sexuelles avec une autre femme.
Soirée folle programmée avec Sandia, notre magnifique Soudanaise, la nuit risque d’être longue.
Soirée à 200 km/heures, mélange dans tous les sens du terme, un épisode qui restera gravé dans nos esprits pendant très longtemps. Une vraie saga africaine en noir et blanc.
Le lendemain, mon Gégé est dans le rouge, batterie à plat. Il se contentera de grignoter de bouquiner, de rêver et de dormir. En ce qui me concerne, soirée pépère, massage par mon préféré, le prince Tristan, pour être franc, on dira massage++, puis retour en chambre retrouver Gérard et lui raconter mon escapade au salon de massage et la baise dans le cul par Tristan.
Sylvie et Gérard ont accepté de passer la soirée au donjon pour leur première leçon de bondage. Elle sera le cobaye, lui simplement spectateur, sous la houlette de Demba, le maître et Tristan, l’élève.
Cette soirée finit à quatre dans la tanière de Tristan : Gerard, Tristan, Demba et moi.
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De retour dans notre repaire, c’est l’heure du débriefing.
– Alors mon Gégé, tu te fais tirer une pipe par Tristan?
– Heu…. Oui!!! Juste un concours de circonstances, une expérience
– Et alors?
-…
– C’était comment?
– Et bien écoute Sylvie, C’était pas mal. Un peu tendu au début, mais j’ai apprécié. Il suce pas mal ce Tristan. Il a un bon coup de langue. Il a du métier. Enfin…. tu dois le savoir mieux que moi!!!
– Oui, je reconnais que c’est un bon partenaire. Il va me manquer après nos vacances, on pourra toujours l’inviter à la maison.
– Et toi, ces trois bites alignées, pointées vers toi?
– La tienne, je la connais et elle m’a toujours plu. Son goût, sa forme, sa couleur. Celle de Tristan est intéressante par sa taille et le goût de son sperme. Celle de Demba c’est impressionnant par sa grandeur, mais rien de plus. Je suis contente d’avoir vu, tripoté et sucé un tel engin pour la première fois, mais sans plus. C’est juste un rêve, un fantasme qui est devenu réalité.
La fin des vacances approche, aujourd’hui, vendredi c’est notre dernier jour complet. Demain matin retour dans nos pénates.
La nuit est déjà bien avancée, nous décidons donc de prendre quelques heures de sommeil, mais c’est promis, pour ce dernier jour, on va s’en mettre plein le tiroir-caisse, faire exploser l’audimat.
Au matin la chaleur est déjà accablante et après un rapide petit-déjeuner, j’embarque mon Gégé à l’ombre au bord du ruisseau. Nous y serons bien.
L’eau fraîche et ses remous nous vivifient et réveillent nos neurones. Après s’être bien ébroués, retour sur les berges, silencieux, immobiles, tel des lézards. L’endroit est parfait, l’ombre à discrétion, le glouglou de l’eau, quelques cui-cui dans les arbres. Que la vie est belle.
Je regarde, ou plutôt j’admire mon Gégé allongé sur le dos, assoupi, les bijoux de famille aux regards de tous. Ça me démange, c’est plus fort que moi, je ne résiste pas à la tentation d’une telle offrande.
Je m’approche doucement de l’objet de mes désirs, le dépose au creux de ma main et le caresse de l’autre. bycasino Mon mâle écarquille les yeux et les referme immédiatement. Il joue le pacha, le nanti, l’auto-satisfait.
Toutes ces années de mariage ne m’ont pas lassée de sa queue. Je l’aime. Je dépose délicatement un doux baiser sur sa pointe, mes lèvres s’entre-ouvrent, je gobe ce dard et tète délicatement le prépuce et son gland. Après quelques coups de langues bien ciblés et de la main, une mini-série de va-et-vient sur son manche, je le vois d’allonger, s’épaissir, de durcir, prendre une allure conquérante. Monsieur ronronne et moi, vous l’avez deviné, je mouille de plus belle.
Affairée à m’occuper de mon homme, ses yeux toujours clos, je n’ai pas vu ni entendu arriver un très jeune couple, presque des ados. Ce sont probablement des clients du gîte de dernière minute, je n’ai pas souvenir de les avoir déjà croisés. Avant de s’approcher de nous, ils ont dû certainement nous épier, nous mater, nous envisager.
Lui est grand, très mince, presque maigre, la peau blanche et une épaisse et longue chevelure dorée. Pas de pectoraux, pas de poils nulle part, mais une longue et fine verge rose se balançant entre ses cuisses.
Sa compagne petite et ronde, de type méditerranéen. Potelée, cheveux mi-longs bouclés, la peau cuivrée, une belle poitrine et de jolie fesses rebondies, la chatte rasée. Un beau brin de femme. Un joli couple.
Je mets en pose mon travail préparatoire avec Gégé et les invite à s’installer sur notre micro plage.
– Je vous en prie, mettez-vous à l’aise. Cet endroit au bord de l’eau est extra et à dispo de tous.
– Merci Madame, nous venons d’arriver et nous ne connaissons pas encore les us et coutumes de cet Eden. Je me prénomme Alex et ma fiancée Maëva.
– Bienvenue au paradis!!! Le lézard c’est Gérard mon mari et moi c’est Sylvie. Et ici tout le monde se dit « TU ».
Echange de sourire, synonyme de ticket d’entrée. La glace est rompue.
Nos jeunes éphèbes s’installent près de nous, j’ai même envie de dire très près de nous. Ils sont adorables tous les deux. Comment ont-ils atterri ici? Ils ont l’air si naïfs.
Faisant semblant de les ignorer, je reprends le sexe de mon homme en main et en bouche et redonne de la vigueur à ce vénérable organe. Quand je commence quelque chose, j’aime bien le terminer.
De deux choses l’une, ou ses jeunes préparent une thèse sur la sexualité ou ils sont en quête d’expérience. Leurs yeux grands ouverts ne lâchent pas la scène de fellation qui se déroule devant eux.
– Veux-tu prendre le relais, viens ma place, dis-je à Maëva
– Heu……
– Alex!!! t’es d’accord?
– Si tu en as envie ma chérie, fais-le
La petite jeunette vient s’accroupir à mes côtés et timidement et maladroitement prend la queue de Gégé et la caresse très très délicatement.
Vous pensez bien que mon Gégé ne manifeste aucun désaccord et que sa bite, sous les caresses de cette petite brunette, prend vite de allures guerrières.
Maëva hésite un instant avant d’approcher sa bouche de ce sexe en érection.
– Vas-y Maëva, il adore se faire lécher le gland
Alex s’est lui aussi rapproché de la scène et les yeux exorbités, regarde sa chérie sucer cet homme, tout en se masturbant avec vigueur. Son sexe est resté rose, long et fin, mais il ne pendouille plus entre ses cuisses. Il est dressé vers le ciel, tel un missile prêt pour le « décollage ».
– Approche-toi de moi Alex, je vais bien m’occuper de toi. Allonge-toi sur le dos.
J’empoigne ce long rigatoni doucement, de peur de le briser, et fais coulisser ma main au grand plaisir de son propriétaire. Après quelques petits massages je décide de le prendre en bouche et de téter ce jeune comme un bébé sucerait son biberon.
A peine le temps de faire connaissance avec ce pénis que déjà il m’inonde la bouche d’un impressionnant jet de foutre. Ça a bon goût. Je connaissais le lait maternel, aujourd’hui c’est le sperme de jouvenceau que je déguste.
Soit il est en manque, soit c’est un éjaculateur précoce, ou alors je lui plais intensément. J’ai envie d’opter pour cette version-là.
Pendant ce temps, Maëva continue consciencieusement et inlassablement à besogner la bite de mon Gégé, qui ne perd jamais le Nord. Il glisse sa main dans l’entre-cuisse bien écarté de Maëva, et lui tripote la moule avec habileté et dextérité car la petite gémit doucement.
Loin bycasino deneme bonusu de se mettre au repos, la verge d’Alex est toujours au beau fixe et semble vouloir en découdre avec moi. Profitant de ce calibre catégorie « small » je vais lui offrir mon petit trou.
Sans s’en rendre compte, ce petit salaud m’a transformé en femme-fontaine. Je ruisselle de partout. Je passe plusieurs fois ma main entre mes cuisses, récupère un maximum de mouille et me tartine le sphincter et l’entrée de l’anus, histoire de lubrifier l’entrée et d’en faciliter l’accès.
– Alex, je t’offre mon cul, en veux-tu?
– Oh… Je n’ai jamais pris une femme par derrière, je serais ravi d’essayer.
– Alors mes fesses sont à toi. Profite, mais vas-y doucement, c’est plus fragile et plus sensible que devant, pour toi comme pour moi.
Je m’accroupis, cambre les reins et offre ma lune à ce jeune garçon. Sacré souvenir pour lui, belle aubaine pour moi.
Il appuie son bassin contre mon popotin, empoigne hardiment sa bite et l’engouffre dans mon trou du cul. Doucement, délicatement d’abord, puis avec de plus en plus d’ardeur et de détermination.
Il se débrouille pas mal ce gosse. Sa longue bite me taraude le fion avec une maestria surprenante. Il va me faire jouir ce petit coquin.
Sous mes yeux, Gégé est en train de bouffer la chatte rasée de la petite Maëva qui gesticule dans tous les sens et qui crie de plaisir, comme si on en voulait à sa vie. Une succession de encore, non, stop, encore, oui, non. Le petite ne sait plus où elle en est. Elle a complètement disjoncté. Et Gégé continue. Pendant que sa langue lui titille le petit clown, ses doigts naviguent entre sa vulve, sa raie du cul et son anus. Je crois que c’est la première fois que cette gamine prend son pied.
Cette scène torride de ce jeune homme qui me troue le cul sous les yeux de sa petite copine qui, en parallèle, se fait grignoter la vulve, est amplement suffisant pour me faire exploser de plaisir. Si mon anus reste relativement sec, ma chatte dégouline de sauce maison, mes cuisses sont trempes, je râle et tremble de doux plaisir, ce gamin et cette gamine ont ouvert une niche dont j’ignorais l’existence : la jeunesse, l’insouciance, l’enfance. Ce gamin lubrique dans un cri rauque me farcit l’anus et m’injecte son sperme brûlant.
Après ce bel échange, très agréable, entre initiés et novices, un bon plongeon dans le ruisseau nous ramène tous les pieds sur terre. L’atmosphère est détendue, ce jeune couple est un vrai bain de jouvence.
Beau début de journée. J’ai l’impression d’avoir retrouvé mes 20 ans.
– Comment avez-vous atterri ici? demandais-je.
– Maëva et moi nous nous sommes rencontrés il y a quelques mois sur les bancs de la fac. Nous avons mis du temps à nous remarquer, à nous côtoyer, nous fréquenter et finalement à coucher ensemble. Nous étions vierges tous les deux, sans expérience. Faute de repères, notre relation sexuelle a vite tourné en boucle.
– Mais vous n’avez pas eu l’idée parcourir des revues ou de visionner des films pornos?
– Non, ce n’est pas la réalité, c’est du cinéma. Nous voulions être confrontés à la vraie vie, et vous êtes notre première expérience sur le chemin de la découverte, un couple expérimenté.
– Whaouah!!! Quel grand honneur!!!
– Jusqu’à quand êtes-vous là? me demande Alex
– C’est notre dernier jour, demain nous partons à la fraîche
– Merde alors….
-…
– Maintenant que nous avons fait connaissance, nous aurions aimé nous diversifier, élargir notre panel. Voulez-vous nous éduquer sexuellement. Enfin, nous donner quelques tuyaux.
-…
– Vous êtes d’accord?
– Ecoutez, prenons ensemble notre déjeuner et on vous communiquera notre décision, ok?
– D’accord, à tout à l’heure
Nos tourtereaux repartis, nous restons Gégé et moi dans la fraîcheur des berges de la rivière.
– Ecoute Sylvie, à mon avis, choisir entre le peut-être feu d’artifice de ce soir et la superbe petite Maëva, mon choix est sans équivoque. Ce serait la jeunette. Une petite de 18 ans qui s’offre, ça ne court pas les rues. Et toi, qu’en penses-tu?
– Oui, Gégé, tu as raison. Je me serais bien faite embrocher par Tristan, mais ce petit Alex a quelque chose d’attirant, et en plus endosser le rôle de professeurs et leur apprendre des petits trucs sympas, ça me plaît bien.
L’heure bycasino güncel giris du lunch est arrivée et nos deux tourtereaux, main dans la main, nous rejoignent tout sourire. Deux rayons de soleil.
Probablement prémédité, Alex vient déposer un léger baiser sur mes lèvres et Maëva procède de même avec Gégé. Contrat paraphé par 4 larges sourires.
Nous les invitons donc à nous rejoindre dans notre nid « Sherazade », et dans le pur respect des bonnes mœurs, leurs inculquer l’abécédaire du sexe.
Voilà nos écoliers de retour sur les bancs de classe, prêt pour leur première leçon.
Commençons par Alex.
– Assieds-toi sur le bord ce fauteuil et écarte bien les jambes, lui dis-je. Et toi Maëva, viens te mettre près de moi.
Je jeune couple s’exécute et délicatement j’empoigne sa verge. Je retire le prépuce, décalotte le gland et dépose quelques bisous sur la pointe tout en le masturbant de l’autre main. L’apprenti Siffredi ne met pas longtemps pour avoir une bite bien dure.
– Continue Maëva!!!
La jeunette prend le relais et commence à pomper son homme d’une manière un peu scolaire, sans conviction.
– Mets-y de l’amour, de la passion, de l’intérêt, de l’envie, si tu continues comme ça, ton mec va débander.
Mettant mes conseils en pratique, le résultat ne se fait pas attendre. Alex commence à se cabrer, respirer de plus en plus vite, de plus en plus fort, il est sur le point d’envoyer la came.
– Stop!!!! Il ne doit pas jouir maintenant, la leçon n’est pas terminée
Maëva s’arrête, Alex fait la grimace
– Tu vois Maëva, quand tu lui as bien léché le gland, tu enfonces sa queue dans ta bouche et continue à sucer et à le masturber et avec l’autre main tu lui bichonnes les testicules, attention c’est très sensible, et de là tu promènes ton index en direction de son anus, tu le caresses et tentes de le pénétrer. C’est bigrement excitant, c’est une des zones érogènes des plus excitantes.
-…
– Regarde!!!
A peine lui ai-je effleuré sa petite rondelle qu’Alex est prêt à jouir. J’arrête de le ploter et le laisse se calmer pendant que c’est au tour de Maëva de passer à la moulinette. Gérard prend les commandes.
– Vous voyez tous les deux. La fellation et le cunnilingus c’est presque pareil, dit Gégé avec beaucoup de conviction.
Il s’allonge entre les cuisses de Maëva, sous le regard curieux du jeune homme et commence par lui écarter les lèvres, déjà bien humides, glisse sa langue à l’intérieur et lape comme le ferait un toutou, et comme pour Alex, il passe une main à l’arrière des fesses de la jeune femme et d’un mouvement circulaire lui caresse la rosace de son petit cul. Son sphincter est crispé, son trou étroit, difficile sans lubrifiant d’y introduire un doigt.
A l’avant, sa langue laisse la place à son index et son majeur réunis pour la pénétrer profondément pendant qu’il lui léchouille le petit clown.
La réaction ne se fait pas attendre. Notre minette s’agite dans tous les sens et feule comme une tigresse. Les tétons de ses seins se sont durcis, ses abdominaux se sont contractés, ses reins se sont cambrés, elle est au point de non-retour. Ses doigts et sa langue peaufinent le travail, la petite se donne, se vide, se liquéfie, s’abandonne à son bien aimé « bourreau ».
Maëva retombe inerte, sur le lit, croyant avoir tout donné. Mais Gégé passe à la phase 2. Toujours armés de ses 2 doigts, il les introduit à nouveau dans le vagin de la jeune femme, les referme à l’intérieur comme des crochets et entreprend le massage de son point « G ».
Quelques secondes suffisent pour provoquer chez Maëva, un nouvel orgasme suivi d’un puissant jet de cyprine. La réaction est si violente qu’elle failli perdre connaissance. Elle devient rouge de honte en voyant l’état de la literie (du boulot pour Sandia), alors qu’Alex ne comprend pas ce qui arrive à son amie.
Après avoir expliqué à ces jeunes gens comment tout ça fonctionne, et comment aborder la sexualité avec son binôme, nous leur proposons de mettre en pratique cette première leçon, sous nos yeux ou dans leur stricte intimité. Ils décident de retourner dans leur chambre et de mettre en pratique l’acquis.
– Merci pour vos précieux conseils, on en reparle ce soir après le diner.
– Amusez-vous bien, on pense à vous, à plus tard.
Une petite sieste nous fait du bien. Il est temps de rassembler nos quelques affaires, demain nous partirons tôt pour éviter la chaleur, le trafic et les bouchons.
La sobriété est de mise, un dernier apéro et repas avec tous nos nudistes, quelques échanges de coordonnées avec des « intimes », des accolades, quelques larmes aussi en saluant Tristan. Même les belles choses ont une fin.
FIN
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