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Un après-midi, Désiré voit le jardinier du diocèse, venir le saluer. C’est un homme d’une cinquantaine d’années, il est un peu bedonnant, chauve et pas très propre.
Il vient de temps en temps entretenir le jardin au centre du lycée.
Très rapidement, il lui demande s’il connaît la peine encourue pour proxénétisme. Désiré croit que son cœur s’arrête! Il lui rétorque qu’il ne sait pas de quoi il veut parler ?
Alors, le jardinier sort son portable, se rapproche de Désiré et lui montre quelques photos très nettes de Claudine en train de baiser le père Gérard et d’autres avec l’évêque et d’autres religieux. Désiré comprend tout de suite où il veut en venir et il lui demande ce qu’il veut pour les clichés ?
Le jardinier répond et il précise.
– A titre d’information, c’est passible de sept ans de prison et cent cinquante mille euros d’amende. En plus sœur Claudine sera excommuniée et sûrement condamné pour prostitution.
Inutile de vous dire que Désiré veut lui casser la gueule. Cependant, il se contrôle et lui demande ce qu’il veut pour effacer ses clichés.
Il lui répond, qu’il ne veut pas d’argent. Étonné, Désiré lui demande, alors ce qu’il veut.
– Sœur Claudine est bien belle, et j’ai l’impression qu’elle m’ignore. Je veux aussi la baiser !
– Au fait, pourquoi tu t’adresses à moi et non au père Gérard ou à l’évêque ? Puisqu’ils sont sur tes photos !
– Tu me prends pour un con ? Je sais qu’elle dort avec toi tous les soirs et que tu participes aussi aux fornications chez toi, avec le père Gérard et la sœur Angèle. Et je ne veux pas perdre mon travail avec son logement. Donc, si tu ne veux pas que je donne ses photos au Cardinal, débrouille-toi pour que, je puisse aussi jouir de Claudine, ta compagne.
Le jardinier remontre ses photos à Désiré en les commentant.
– Regarde-moi cette petite salope de Claudine, comme elle est belle. C’est vraiment une petite pute qui mérite de se faire baiser. Regarde ses seins lourds, ses aréoles sont brunes et ses tétons bien durs. Ses fesses sont belles, sa chatte et son cul, cela m’excite de te montrer ça?
Malgré lui, la situation excite aussi Désiré et il commence à développer une érection importante.
Le jardinier rentre son portable et tourne les talons en clamant.
– A bientôt !
Une semaine plus tard, alors que Désiré se dirige vers son logement, le jardinier vient vers lui et lui demande s’il veut qu’il efface deux photos de son portable. Il doit de l’inviter demain soir, pour prendre l’apéritif et de suivre alors ses instructions. N’ayant pas le choix, Désiré accepte.
Le soir même, il informe Claudine, qu’ils auront le jardinier pour invité afin de pouvoir discuter d’un problème de parterre de fleurs. Elle parait étonnée, elle rétorque si cela ne peut pas attendre. Alors, il l’informe de la menace qu’il fait peser sur leur couple.
Claudine le méprise et ne le salut, que quand elle est vraiment obligée. Elle lui dit qu’il la répugne. Elle lui dit qu’il ne faut pas s’attendre à ce qu’elle soit agréable avec lui.
A dix-neuf heures, le jardinier se présente à leur porte. Désiré lui ouvre. Il a fait un effort pour s’habiller, d’un pantalon de toile avec une chemise à laquelle manque deux boutons et qui n’arrive pas à cacher sa petite bedaine.
Désiré le fait rentrer trabzon escort et Claudine lui serre la main pour lui dire bonsoir, le visage fermé. Il la dévisage d’un œil lubrique. Elle va rapidement dans la cuisine.
Le jardinier prend alors à part Désiré et lui met dans la main un petit flacon d’un liquide transparent. Il lui suggère de le verser dans le verre de Claudine. Comme, Désiré s’apprête à refuser, il sort son portable de sa poche et y fait apparaître une photo.
– Tu mets cet aphrodisiaque dans son verre pour la booster et je supprime la photo ?
Soumis, Désiré referme la main sur le flacon et part à la cuisine tandis que le jardinier s’installe sur une chaise.
A son arrivée dans la cuisine, Claudine lui proclame.
– Tu as vu, comme il m’a regardé ce gros porc?
– Non, je n’ai pas vraiment fait attention.
– Tu ferais mieux de le surveiller sinon je vais m’enfermer dans ma chambre.
– Calme-toi, on va voir ce qu’il nous veut. Je vais préparer un bon cocktail pour l’amadouer.
Sur ces mots, il prépare trois cocktails, et verse en cachette dans l’un deux le liquide transparent. Il le repère avec une paille de couleur rose pour être certain de le donner à Claudine.
A leur retour dans le salon, Claudine s’installe dans le canapé, à l’opposé du jardinier et Désiré en face d’elle. Ils engagent la conversation sur les conditions du chantage, tout en buvant leur cocktail. Claudine, qui n’a pourtant pas l’habitude de boire, boit le sien assez rapidement, comme pour signifier au jardinier qu’il va être bientôt l’heure de partir.
Elle ne participe pas à la conversation et reste très fermée. Plus la conversation se précise, plus Désiré voit Claudine s’agiter sur le canapé.
Au bout d’un quart d’heure, Claudine a fini son verre et elle a le regard un peu dans le vide.
Le jardinier se lève et va s’asseoir à côté de Claudine. Il se rapproche d’elle imperceptiblement.
Il lui demande alors, si l’évêque la baise bien. Comme elle ne répond pas, il s’accole à elle dans le canapé et lui touche les seins en lui disant qu’ils sont bien fermes. Sœur Claudine semble hébétée et ne répond toujours pas. Les effets du flacon et de l’alcool cumulés doivent se faire sentir.
Soudain, le Jardinier lui lèche alors le visage de la bouche jusqu’à l’oreille et proclame.
– Alors, sœur salope, tu ne veux pas te faire baiser par le jardinier. A présent, tu ne dis plus rien? Tu vas voir, ce que je vais faire de ton joli corps de pute.
Désiré est outré, il lui demande ce qu’il y avait vraiment dans le flacon.
En souriant, le jardinier lui répond, qu’avec l’aphrodisiaque, il y avait aussi un inhibiteur chimique.
Comme il allait protester, le jardinier lui dit de la fermer et de regarder, sinon il envoie les photos au cardinal immédiatement. Désiré se rassoit et regarde le spectacle de sa tendre Claudine soumise au chantage du jardinier.
Le jardinier tire la robe de bure de Claudine vers le haut. Machinalement, elle lève les bras pour faciliter son déshabillage. Comme le père Gérard l’exige, elle ne porte pas de sous- vêtement sous sa robe. Ses deux beaux seins apparaissent en rebondissants. Les grosses aréoles sombres dénotent avec la blancheur de la peau. Le jardinier les saisit à pleine main en tunceli escort déclarant, qu’il attendait ce moment depuis bien longtemps. Il les malaxe sans aucun ménagement, pinçant les tétons entre ses gros doigts et les tournants. Sœur Claudine, les yeux mi-clos, elle commence à pousser des petits soupirs, malgré sa passivité. Il les lèche goulûment en laissant de longues traînées de salive.
Il se recule et sortie un petit appareil photo avec lequel il fait quelques clichés avant de déclarer.
– Maintenant, on va passer aux choses sérieuses la bonne pute. Tu vas voir, ce que va te faire subir un larbin des ecclésiastiques.
Il défait alors son pantalon et le baisse jusqu’à ses chevilles. Il ne porte pas de sous-vêtement et sa queue est déjà bien raide.
Son engin est relativement long d’une vingtaine de centimètres. Il est surtout très épais avec un gland énorme, de la taille d’une mandarine. Ses testicules sont également très grosses. Le gland turgescent est vraiment impressionnant. Il est presque totalement recouvert de sécrétions blanchâtres séchées. Il dit d’ailleurs à Claudine.
— Tu vois, je me suis branlé bien souvent en pensant à ce soir et je ne l’ai pas lavé, pour que tu puisses en profiter au maximum, diablesse.
En disant ses mots, il frotte son gland sur le visage de Claudine, en s’attardant sur les lèvres, le nez et les yeux. Ensuite, il lui bouche ensuite le nez pour qu’elle entrouvre la bouche afin de respirer et il y engouffre immédiatement son énorme gland. Il la saisit par les côtés de la tête et commence à lui faire faire plusieurs aller-retour sur sa queue.
Très vite, il commence à trembler de tout son corps.
– Oh oui ! je vais gicler dans ta bouche bonne sœur. Je suis sûr que tu n’as jamais sucé de bite aussi grosse comme la mienne. Je vais t’inonder le gosier de mon jus de couilles.
Sur ces paroles, il émet un gros râle et décharge sa jouissance dans la bouche de sœur Claudine, pendant au moins une minute.
Il reste ainsi, sa queue au fond de la gorge de Claudine, tout le temps qu’elle déglutit sa jouissance. Le front appuyé contre le ventre du jardinier, avec toujours la queue du jardinier au fond de sa bouche. Des filets de salive sortent des coins de ses lèvres et
coulent sur son menton et sa poitrine. Lorsqu’elle a avalé toute la jouissance du jardinier. Il sort sa queue molle de la bouche de la sacrifiée.
Le jardinier essuie son gland dans les cheveux de sœur Claudine qui reste toujours amorphe. Désiré se dit que le jardinier a eu ce qu’il souhaitait et lui demande d’effacer une autre photo. – Ça ne fait que commencer. Vous n’allez pas, vous en tirerez à si bon compte. Et je vois que toi aussi, tu ne restes pas indifférant devant le spectacle de ta bonne sœur en train de me faire jouir ?
Désiré n’a pas pu résister et il a aussi sorti sa queue et la masturbe doucement. Le jardinier prend encore quelques photos. Ensuite, il soulève Claudine et l’oblige à se positionner, les coudes sur le dossier du canapé et à genoux sur l’assise, de telle manière qu’elle lui présente ainsi ses fesses.
– Voilà, un cul comme j’aime en baiser, d’habitude, je paye pour ça ! Tu vas sentir, ce que c’est de se faire baiser par ma grosse bite. Je vais te ramoner la chatte comme jamais. D’ailleurs, uşak escort je vois que tu mouilles déjà à cette idée.
Et effectivement, sœur Claudine étant toujours dans un état d’excitation, sa moule bâille et luit d’envie d’être visitée. Le jardinier commence par lui fourrer deux de ses gros doigts d’un coup et il pratique un va-et-vient rapide. Il en met ensuite un troisième. Quand, il les sort, ils sont inondés de cyprine. Il les montre à Désiré et me proclame.
– Tu vois, qu’elle aime ça ! je suis sûr, que si je lui avais montré ma queue ? On n’aurait pas eu besoin de drogue pour que je la baise. C’est une vraie salope que tu as là !
– A présent, je vais la baiser, et c’est toi qui vas prendre des photos.
Il présente son gland qui a retrouvé toute sa grosseur, sur les lèvres de la moule de sœur Claudine. Il l’appuie fortement et les lèvres s’écartent sur la queue s’enfonce dans son paradis. On a l’impression que c’est la moule qui avale la queue. Désiré voit sa Claudine en train de se faire prendre par le jardinier au sexe démesuré et qui l’insulte en la baisant.
– Je te remplis bien ! La pute de bonne sœur. Tu sens mes couilles taper contre ton clito? Cela te fait mouiller hein? Tu ne penses qu’à te faire ramoner par les bites de l’évêché.
Pendant ce temps, Désiré excité, prend des photos sous tous les angles, tout en se masturbant. De face la sœur Claudine a toujours les yeux dans le vague. Pourtant, elle ouvre légèrement la bouche à chaque coup de queue du jardinier.
Excité comme il est, Désiré présente sa queue aux lèvres de sa Claudine.
Subitement, le jardinier sort sa queue du paradis, d’où elle était bien au chaud.
Il applique son gland sur la rondelle de sœur Claudine. D’une formidable poussée, il enfonce sa queue dans les reins de la bonne sœur.
De surprise, elle ouvre la bouche en grand pour aspirer de l’air. Mais, c’est la queue de Désiré qu’elle aspire au fond de sa gorge.
Les coups de queue du jardinier dans son boyau, la projettent sur la queue de son Désiré
N’y tenant plus, Désiré râle sa jouissance et la décharge dans la bouche de la Claudine pendant au moins une minute. Elle peine à déglutir la jouissance de son Désiré. Car, par les puissants coups de queue du jardinier, elle est projetée sur la queue qui tape sur sa glotte et la fait éructer.
Pour ne pas étouffer sa bonne sœur, Désiré sort sa queue de sa bouche, un surplus de sperme sort avec sa queue et coule sur le menton et dans le cou de la Claudine. Elle en a avalé une grosse partie et pourtant l’excédent qui s’écoule représente bonne quantité.
La sœur Claudine émet un gros râle de plaisir, lorsque le Jardinier envoie son restant de sperme dans ses entrailles.
Ensuite, il se rhabille et efface deux photos avec l’évêque en disant qu’il donnerait à Désiré des instructions pour continuer à en effacer d’autres.
Il sort rapidement en laissant Désiré avec sœur Claudine encore dans les vapes. Comme, il rebande encore et qu’il souhaite éjaculer pour la deuxième fois. Il s’approche de l’anus et appuie sa bite sexe dessus. Lubrifié comme il est, Désiré n’a pas de mal à s’introduire dans le boyau de sœur Claudine. Il envoie sa jouissance dans son fondement en aux bouts de dix minutes.
Ensuite, il porte ensuite son épouse à la salle de bain, la nettoie avec un gant, lui applique une pommade apaisante sur la vulve et sur l’anus. Après ça, il la met au lit.
Le lendemain, lorsqu’elle demande à Désiré ce qu’il s’est passé. Il lui explique, le chantage du jardinier.
Elle serre les poings, pour contenir sa colère.
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